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L’animation : ce métier passion qui m’a tant appris, malmené, émerveillé, rendu heureux.
Ce site représente incontestablement, ce que je dois lui rendre.

Je suis Samuel BRUET, descendant du Marquis de… Non je déconne.
Comprenez juste que je suis un passionné réduisant l’efficacité de l’animation, à l’essentiel.
Et si les lignes qui suivent vous parle, bienvenue. Autrement bonne continuation.

Comme beaucoup d’entre nous, tout commence par le BAFA.
Une personne ayant vu clair en moi en me disant « Tu dois être taillé pour l’animation »
Première nouvelle néanmoins, je n’avais pas idée de mon potentiel, mais ça me plaisait donc… Allons-y.

Je prends confiance, je bosse dur, je progresse, je deviens indétrônable en 3 ans, je suis dans mon élément.
Et comme toi qui l’a vécu ou va le vivre :

  • J’ai tremblé lors de mes premiers jeux, petits comme grands.
  • Mes mois de juillet et août m’ont fait oublié le temps.
  • J’ai rencontré des personnes de cœur à qui je pense encore 20 ans après.
  • J’ai ramassé des gerbes, torchés des culs, courus après des fugueurs.
  • J’ai apprécié les cinquièmes.
  • Je me suis vu gérer des situations extrêmement délicates « sur l’instant ».
  • J’ai développé la compétence de l’adaptation & de la réflexion par moi-même.
  • J’en ai fait mon métier en parallèle d’éducateur et manager sportif.
  • Des enfants sont devenus animateurs grâce à moi et me saluent dans la rue.
  • Ajoute ce que tu veux à cette liste.

 

Mais comme beaucoup, je déchante aussi du nombre incalculable d’incompétents que comprend notre métier. Laisser le diplôme à ce type de personnes gratuitement me dérange, il y en a eu des prises de gueules selon les formateurs. Mais rédigez un rapport est fatiguant, vous comprenez.

Les bons animateurs comme les bons formateurs ne courent pas les rues, car ce métier peut se pratiquer comme chacun, à différents niveaux de compétences. Encore faut-il le vouloir.

Oui, cela se dit, cela s’assume.
Non cela n’est pas de la prétention ou du favoritisme.
C’est l’exigence du métier, qu’on fait naïvement croire accessible à tous, et c’est là notre échec.

Un excellent animateur aujourd’hui était un animateur « normal » il  y a 20 ans.
Alors ne soyez pas comme tous ces endormis et augmentez le niveau dès le départ.

À un moment où ce métier est abandonné, sous-valorisé, tronqué, salit, banalisé, alimentaire.
Je vous l’écris, les réseaux sociaux étouffent votre potentiel avant même qu’il ne puisse s’exprimer.

On refait le match constamment, inutilement, comme s’il n’y avait que ça à foutre de notre temps si précieux.
Cela ne changera jamais un résultat, mais tant pis, on veux faire partie du débat.

On prend 1001 infos pour en exploiter… aucune.
À en savoir trop, on n’ose plus agir…
Alors, sachant cela

 

Que t’apportera Ludi-Anim ?

Ce site est un atout précieux pour celle ou celui qui comprend qu’un diplôme ne fait pas le bonhomme.
Que la réussite se trouve dans les détails, la persévérance à les travailler pour mieux les utiliser.

Pour ceux ayant compris que la valeur ne s’estime pas à combien nous sommes rémunérés.
Des colos conso existent à 80 euros la journée pour faire du « gardiennage ».

Pendant 20 ans, je me suis penché sur la technique, les méthodes, le savoir-faire, le savoir-être.
Je ne te parlerais pas Montessori, Freinet, Dolto, etc… Bien sûr, c’est une base mais :

  • Je préfère te parler terrain & adaptation avec les moyens qui sont les nôtres.
  • Je préfère te transmettre des outils qui t’amèneront à des sommets.
  • Sans perte de temps mais au contraire, dans l’action immédiate.
  • Cela te demandera pendant un moment, beaucoup d’attention et d’énergie avant d’être libérateur.

 

Le manque de formation est flagrant.
Le BAFA déconnecté de la réalité, même si indiscutablement bénéfique (en internat notamment).
Le BPJEPS connait un taux d’échec cuisant, on en revient à l’exigence métier.

Pour avoir passer à l’époque le BEES athlétisme avec le tronc commun BPJEPS Loisirs Tout Public, je peux vous certifier que cela a été plus exigeant que ma licence pro à Lille II, ne leur en déplaise.

Alors pourquoi des personnes qui désirent progresser n’ont pas les moyens pour ?
Direction surbooké (ou trop molle), collègues incompétents ou jaloux dans leur confort.

Attention, ne soit pas trop bon !! Oulàlà, tu vas nous bousculer.

Ces retours sont les plus fréquents des +400 élèves que j’ai formé après ces diplômes.
Des personnes qui comprennent bien que sans se bouger, rien ne change.

Ludi-Anim est fait pour aider les animateurs avec le bon état d’esprit, à relever le niveau lamentable dans laquelle se retrouve l’animation aujourd’hui.

Il reste des bons, aucune généralité à faire.
Mais c’est souvent ceux qui souffrent en silence ou s’indignent sur les réseaux, même s’ils savent très bien que cela ne sert à rien.

 

Que s’est-il passé ?
Pourquoi, avec des personnes si passionnées, le métier souffre t-il autant ?

Ma carrière est faite, la relève, c’est toi qui est en train de lire ses lignes.
Et je souhaite que tu rendes autant d’enfants heureux, que j’ai pu le faire à mon niveau.

Ce qu’il se passera est dans les mains des acteurs de terrain.

Des réalités qui font mal

Paradoxalement, mieux vous serez payé, et plus vous fournirez un travail considéré comme « acquis ».
Pour utiliser un autre terme, vous commencerez à faire de la merde.

Cependant, les plus qualitatifs des animateurs méritent cette rémunération.
Je vais vous montrer comment mêler l’utile à l’agréable.

Sans rien vous promettre car le système reste le système.
Avec toutes les frustrations que les moyens qu’il peut nous donner occasionne.

Tant que nos dirigeants considèreront qu’être solo pour 14 enfants de 4-5 ans, ou même 36 enfants de 6-12 ans pour 2 est gérable, nous ne ferons que « nous en sortir ».

Nous avons pourtant tellement de choses à apporter.
L’art de mener le jeu est Le moyen le plus puissant d’apprentissage sur cette Terre, et pourtant…

 

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